mardi 16 février 2010

Présentation

Bonjour,

voici mon histoire :

En essaie bébé depuis novembre 2004. Le premier mois, je vois que je ne suis pas menstrué après avoir arrêter la pillule. Je fais donc un test de grossesse négatif. Par la suite, comme j'ai toujours eu des problèmes au niveau des règles durant l'adolescence, je décide de me rendre à la pharmacie et de prendre ce qu'on appel la température basal.

Ce qui consiste à prendre notre température tout les matins à même heure, ayant eux au moins 3 heures de sommeil consécutif, avant même de mettre un pied par terre. Ensuite on inscrit le tout sur un jolie petit tableau qui devrait en théorie nous indiquer le temps de notre ovulation quand on sait le lire. On appel sa une courbe de température...

Sauf que moi j'en ai pas! niet! nada! nop! Toi ma fille t'es pas du pour sa! un point c'est tout! DOnc, je prend immédiatement rendez-vous chez le doc. Car par folle la fille s'informe sur le net :)

Et sa dit clairement, qu'une personne essayant d'avoir un enfant et qui n'a aucune règle depuis 3 mois consécutif doit voir le doc. Le mien m'a dit quoi quand je suis arriver là? Hey retourne chez vous la grande pis revient me voir dans 6 ou 9 mois même.

Mois en beau criss... Je lui dit de laisser faire pis que je déménage ailleur pour me trouver un autre doc. Aussitôt dit, aussitôt fait. Je me trouver UNE nouvelle doc, qui elle aussitôt me prescrit une batterie de test à passer allant du test sanguin au échographie de l'utérus... et PAF!!! le verdict tombe. Symdrôme des Ovaire PolyKystique (SOPK) Donc, gogo chez procréa...

Nous sommes maintenant rendus en février 2006. Parce que bien sûr les tests et l'attente pour procréa tout sa sa prend du temps mes amis...!

Donc premier rendez-vous en février 2006 et la Dr Villeneuve me prescrit mon premier cycle de sérophène + provera pour déclencher les règles sinon sa peut attendre 1 ans :|

Et la je vous dit pas.... les bouffé de chaleur, les crampes aux ventre et tout le tralala que j'ai dû subir pour sa... mais sa c'est pas grave je m'en souviens à peine de tout les maux physique que le metformin et le sérophène on pu me faire... Par contre, la douleur lié au traitement et aux "joke" que les gens m'ont fait. La solitude social que j'ai dû subir en me fermant la gueule pour pas déplaire au monde.

Mais sa c'est une autre histoire. :)

C'est assez pour ce soir...

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